HONDURAS

Le 4 décembre

Nous passons la frontière du Honduras et là aussi il faut payer pour sortit du Nicaragua et pour entrer au Honduras .

Nous allons ensuite jusqu’à Nacaome où nous trouvons un endroit sur pour passer la nuit à la caserne des pompiers .

Ils ont un grand terrain et reçoivent beaucoup de voyageurs .

Robert est content ,il peut toucher un boa constricteur . Les pompiers viennent d’en récupérer un dans la ville pour le remettre à la rivière .

SALVADOR

Le 5 décembre

Encore une frontière pour entrer au Salvador et là nous y passons 3 heures : c’est de plus en plus compliqué mais ici on ne paie rien

Nous faisons route jusqu’au petit village d’Alegria , nous pensions aller à la lagune Alegria mais le chemin est trop mauvais aussi , nous décidons de rester pour la soirée et la nuit dans une rue d’ Alegria près de la place centrale où est installé un petit marché de noël

Lé 6 décembre

Nous pensions aller visiter le site archéologique de Joya de Cerén inscrit au patrimoine de l’unesco mais il est fermé exeptionnellement jusqu’au mois de mai 2020 , nous nous arrêtons au site de San Andres mais il est tout petit et nous sommes un peu déçu il n’y a pas grand-chose à voir .

Nous continuons la route jusqu’au lac Caotepeque .

Le 7 décembre

Nous prenons la route des fleurs avec un arrêt au site de Tazumal .

Dommage que pour protéger les pierres des pyramides ils les ont recouvertes de ciment .

Nous arrivons à Barra de Santiago au bard de la mer pour passer nos 2 derniers jours au Salvador

Résumé du Honduras et Salvador

Deux petits pays que nous avons traversé assez vite car ce sont des pays qui ne sont pas très sur : il y a beaucoup de violence surtout au Salvador (San Salvador est la 2ème capitale la plus dangereuse au monde après Caracas au Venezuela ) mais la police , l’armée et les vigiles sont présents partout aussi nous ne nous sommes pas trop sentis en insécurité .

Nous y avons parcourus 124 km au Honduras et 479 au Salvador

Ce sont des pays pauvres où la fracture sociale est importante entre la classe aisée et les plus pauvres qui souffrent de mauvaises conditions en matière de logement de santé et de pénurie de toutes sortes de biens de première nécessité : l’électricité et l’eau ne sont pas installés partout mais à coté de ça ils ont tous le téléphone portable dernier cri (riches ou pauvres ) et ils en passent des heures sur leur portable !!!! .

Les principales ressources sont l’agriculture et le tourisme qui commence à se développer tout doucement .

Les gens sont très sympathiques et viennent souvent discuter avec nous .